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Déficience motrice

   Dans le cadre du cours, nous avons découvert les déficiences motrices, mais plus particulièrement l’IMC qui est une infirmité motrice cérébrale. L’IMC a été causé par une lésion au cerveau et a des conséquences au niveau moteur. Cependant, on ne remarque pas de déficience intellectuelle.

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   Différents signes peuvent permettre de repérer l’IMC, mais on remarque surtout des difficultés au niveau du développement de la motricité. Par après, des gestes anormaux pourront aussi être observés. Les troubles moteurs peuvent avoir des répercussions sur le commandement du mouvement, son organisation et son contrôle ainsi que sur le tonus musculaire et on observera des raideurs.

 

   Il existe différents types de déficiences motrices en fonction de l’importance de la lésion et où elle se situe.

Plusieurs causes de l’IMC sont possibles en fonction de quand la lésion apparaît : anténatal, néonatal et postnatal.

Il est également important de prendre en compte l’évolution de l’IMC. La lésion ne va pas évoluer, mais elle va entraver le développement du cerveau. Il faut donc observer régulièrement les capacités de la personne.

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Qu’est-ce qui est important dans la prise en charge ?

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  • La prise en charge doit être la plus précoce possible.

  • La prise en charge est médicale et motrice.

  • Il est nécessaire qu’il y ait une collaboration entre les différents partenariats.

  • Il faut favoriser l’autonomie au maximum.

 

   Par rapport à notre rôle d’orthopédagogue, j’ai fait des recherches pour savoir les éléments qui pouvaient les aider au bon déroulement de leur scolarisation. Parmi les différents documents que j’ai pu lire, j’ai découvert un document très intéressant rédigé dans le but d’accompagner les enseignants pour accueillir un enfant avec un handicap moteur. Voici les points importants qui y sont développés.

 

   Tout d’abord, il est important d’informer les professionnels sur le handicap. Pour ce point, ils développent les caractéristiques, les différentes atteintes et les troubles associés possibles.

 

   Ensuite, ils abordent les différents éléments qu’il faut prendre en compte, tant au niveau de l’équipe, des aménagements, de l’utilisation de l’informatique, mais aussi du projet individuel d’intégration de l’enfant. Une partie du document est également consacré aux adaptations de l’enseignant dans les apprentissages, les apprentissages fondamentaux et enfin les cours d’éducation physique et artistique. En fin de document, ils proposent différentes sources pertinentes.

 

   Je conseille la lecture de ce document pour un orthopédagogue ou un enseignant pour préparer au mieux l’arrivée d’un enfant ayant un handicap moteur. J’ai retrouvé certaines informations dans d’autres documents, mais je conseille celui-ci, car il est complet, bien structuré et facile à lire.

 

   Au terme du cours de déficience motrice, j’ai pu développer mes connaissances par rapport aux troubles moteurs. J’ai pu mieux comprendre les différents types de handicaps et leur origine. Cette prise de conscience me semble importante dans le suivi d’une personne en situation de handicap moteur.

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  J’ai pu également découvrir, au travers d’un reportage vidéo, les différentes activités sportives proposées. Je me suis rendue compte qu’il y avait beaucoup de possibilités qui s’offraient à eux malgré leurs difficultés et que le sport est tout aussi important pour eux que pour nous. Des adaptations sont possibles pour leur donner la possibilité de s’orienter vers les sports qui les intéressent et qu'ils puissent accéder à leurs rêves. Autant dans la classe que dans le quotidien, je pense que le handicap n’est pas un obstacle si des adaptations et des aménagements sont mis en place. C’est notre rôle de leur permettre de s’épanouir et vivre pleinement leurs expériences en leur offrant la possibilité de les réaliser.

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Sources utilisées pour réaliser le travail:

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